Mues
Indications tarifaires :

Les tirages des œuvres sont numérotés et limités à 30 exemplaires en tout par cliché :
à l’intérieur de ces 30 tirages, 5 formats sont possibles. Ils sont eux-aussi limités.

Note importante de l’auteur :
Certaines œuvres portent un cadre faisant partie intégrante de l’œuvre. En effet, des compositions « appellent » à un trait d’union diffus avec l’environnement et avec le futur. Tel un écho, ce cadre apporte profondeur et intensité au message graphique. Son « aura diffractive » sertit l’image focale de sa résonance centrifuge afin d’évoquer une forme d’acte lyrique déjà transitionnel.
Tout comme les cadres, les reflets dus à la matière de protection, font partie intégrante de l’œuvre. Ils en prolongent et en surlignent le sens. Ils ont en charge de contextualiser l’effervescence présentielle de l’image. Le choix délibéré de cette matière de protection à effet miroir, suggère à elle seule, une mise en spatialité virtuelle.
L’image réflexive collabore donc avec son lieu d’exposition. En effet, les reflets portent des réciprocités dont les symétries clandestines anticipent la métamorphose de la matière. Ils l’incluent à la boucle spatiotemporelle du recyclage.
Tous les tirages sont signés numérotés, avec Certificat d’Authenticité :
Format : h. 48 cm x l. 29,7 cm
Édité à 14 ex.
Numéroté de 17 à 30
498 €
Pour les Entreprises :
Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 100 €
Format : h. 58 cm x l. 35,8 cm
Édité à 7 ex.
Numéroté de 10 à 16
698 €
Pour les Entreprises :
Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 140 €
Format : h. 78 cm x l. 48,2 cm
Édité à 5 ex.
Numéroté de 5 à 9
998 €
Pour les Entreprises :
Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 200 €
Format : h. 98 cm x l. 60,6 cm
Édité à 3 ex.
Numéroté de 2 à 4
1398 €
Pour les Entreprises :
Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 300 €
Format : h. 118cm x l. 73 cm
Édité à 1 ex.
Numéroté 1
1998 €
Pour les Entreprises :
Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 440 €
Collection Noir et Blanc :
Tirages identiques (nombre et formats)
Tarifs : Moins 10 % par rapport aux tarifs couleurs
Si vous souhaitez faire l’acquisition d’une œuvre en Noir et Blanc, il vous suffit d’en faire la demande.
Nous vous enverrons le visuel qui correspond à votre choix.
Si vous hésitez entre deux ou trois pièces, pour confirmer votre choix, nous vous ferons parvenir, toujours par courriel, les images Noir et Blanc de ces œuvres.
Remises
Pour une commande de 5 œuvres
Remise de 5 %
Pour une commande de 6 à 14 œuvres
Remise de 10 %
Pour une commande de + de 15 œuvres
Remise de 15 %
Postulat Conceptuel
« Objets à recycler, avez-vous donc une âme… ? »
D'après Alphonse de Lamartine

Au commencement, ayant identifié leur puissance expressive, c’est à partir de simples prises de vues de fragments de conditionnements déchiquetés, que Pascal di PÉRI, interroge notre rapport à la matière, à la consommation, et à l’environnement.
Puis, expérimentant l’intérêt graphique de cette matière consumérisée, codebarrisée, devenue déchet, il en est venu à poser une réflexion plus globale sur la préciosité intrinsèque de la « substance matière » lorsqu’elle est recyclable : « Du rebut à la ressource… ».
Le caractère essentiel du cycle symbolique du recyclage, traité par l’allégorie narrative comme un phénomène opérant, fut le produit évident de cette introspection créative. La catharsis iconique de la geste que Pascal di PÉRI a développée, pour sublimer cette réflexion, s’est elle-même mue en « ode au recyclage ».
C’est pour exposer et sublimer la séquence métaphorique de la mutation de la matière, qu’il a conçu un modus operandi qui lui est propre, qu’il nomme : « Captation-Photo-Picturale ». C’est par ce mode opératoire ritualisé, qu’il régit les fondements techniques, conceptuels, et formels, de ses recherches qu’il veut porteuses de sens et d’émotions. Car ces « allégories iconiques » entendent cristalliser aussi, les fondements d’un art qui se positionne comme un « manifeste éco-artistique ». Baptisées : « MUES », ces œuvres nous renvoient à notre propre évolution…
« Il fallait rendre lisible la « transsubstantiation » de la matière, sans initiation préalable. Que tout spectateur puisse décrypter la positivité du message conceptuel, et en éprouver intuitivement, l’intensité empathique. Pour qu’in fine, le rayonnement subliminal de la substance sémiologique de l’image, infuse son subconscient. La cosmogonie plastique mise en œuvre devait être suffisamment captivante, pour « téléporter » le spectateur au cœur du « réacteur-émotionnel » de la métamorphose, afin qu’il capte et se nourrisse implicitement des vertus bienfaitrices de l’hybridation métaphorique. »
Pascal di Péri
De la prise de vue au " lâcher-prise de vue " ...
Ces investigations vont effectivement conduire l’artiste à inventer une nouvelle forme d’expression, qui, nous le constatons, est dotée d’incidences graphiques exceptionnelles. Son process, aux confins de plusieurs techniques, est déjà en lui-même, une forme de métamorphose. Le caractère polymorphe de son mode opératoire induit déjà très explicitement l’alchimie symbolique de la transmutation de la matière par recyclage…
Le cadre de la gestation créative ainsi que son appendice technique ne participent que d’un seul et même continuum. Celui-ci accouche d’un vertige graphique spatio-temporel aux proportions du Nombre d’Or : l’objectif du photo-graphiste est effectivement entré là, dans un ailleurs aux inconnues foisonnantes d’espoirs.
Ainsi s’est érigé un cérémonial aux invocations artistiques quasi chamaniques. Les « spasmes photogéniques » de la matière commune, se sont agrégés à des volutes de galaxies aux pixels atomiques, comme à des queues de comètes spectrales folles. L’artiste ne contrôle plus, « connecté », il s’efface devant le rituel.
Cette « mue sidérale » est dorénavant suspendue à ce « lâcher-prise de vue » où des synchronicités hermétiques, invoquent et convoquent, sans les contraindre, les énergies de l’Éther. Et, même si une abstraction lyrique émerge de cet apparent chaos dé-composite, elle ne s’appréhende que par la figuration et la trans-figuration de sfumatos de pixels qui, eux-mêmes ont muté en atomes psychédéliques.
C’est dans cette photogénie aussi déliquescente qu’effervescente, que des vortex de lumières fusionnent à des fréquences métachromatiques. Leurs ineffables flux vont galvaniser des halos de nues aux incandescences binaires, jusqu’à mythifier l’exaltation spectrale de l’image. Car, tel un Phénix se réincarnant, les corpuscules de matières en pleine métamorphose, se liquéfient dans les limbes ardents du même espace-temps, que les vibrations atomiques qui les réengendrent.
« La matière, lorsqu’elle est recyclable, devient presque aussi précieuse que l’eau. »
Pascal di Péri
Ces « MUES » nous font entrer dans les convulsions épiques d’une matière dont la « psychè » contient un infini fantasmé. Le corpus créatif visionnaire de cette recherche doit agir tel un mantra sémiologique prégnant. Et, si les effluves iridescents et polychromes de cet art, cherchent à nous toucher émotionnellement, c’est peut-être finalement pour mieux nous sensibiliser civiquement. Ces œuvres ne transmutent pas seulement la « matière ciglée et consumérisée ». Elles nous plongent dans les stigmates résilients de marques qui là, s’absolvent peu ou prou de leurs « déchets capitaux », en s’ouvrant les « voies de la rémission et de l’harmonie ».
Il en résulte un gisement thématique qui, certes ouvre une authentique veine artistique, mais dont les axiomes peuvent influer positivement sur les consciences :
La nécessité d’appréhender « l’enjeu karmique » de la matière, comme l’un des défis majeurs de notre temps.
Son intention est en effet aujourd’hui, de célébrer le processus du « recyclage », en intégrant les marques à cette résilience graphique, comme les dépositaires d’une éthique citoyenne, et les actrices de cet enjeu.
Un mouvement éco-artistique aux accents « artivistes » naitra sûrement de cette recherche et de ses postulats. Des événements culturels et d’autres veines, concourront à sa légitimité. Pour qu’il puisse rayonner et atteindre les objectifs fixés, il suffit de le nommer avec justesse. Pour autant, il ne s’adosse pas aux dénonciations portées par les mouvements tels que « Upcycling ». L’engagement de Pascal di Péri n’est pas pensé pour être critique. Il veut s’inscrire dans un contexte de réconciliation qui positive et fédère les positionnements, d’où qu’ils viennent, dans notre écosystème. Il s’inscrit dans un cadre qui promeut la Résilience.
Nous lui avons trouvé un nom : Le « Tri-Art »… Qu’en pensez-vous ?
L'œuvre, ses postulats et son " au-delà "...
Ces œuvres, toutes issues de ce que leur auteur nomme « lâcher-prise de vues », semblent en effet émaner du fluide occulte d’une « méta-matière » flamboyante.
Telles des constellations inter-magmatiques osmosées à des bribes d’espace-temps, elles apparaissent en véritables OMNIs (Objets Mutants Non Identifiés).
Entre corpuscules et ondes, entre crépuscule et aube, entre net et flou, leurs artefacts, irradiés d’effluves fractals, sécrètent les plans de psychè graphique d’un monde subtile. Dans cette épure aux intentions résilientes, l’objectif croise des énergies éco-graphiques célestes. Leurs turbulences diffractent et saturent les champs digitaux lumineux. Des auras, aux méandres fréquentiels, rejoignent ces synchronicités paradoxales qui décomposent un prisme, qui, polarisé par une subconscience éthérée, recompose l’image sous le règne d’effluences primales…
« Toutes les anamorphoses de ces œuvres, sont « métaphysiques ». Elles sont toutes en effet, pigmentées de « quête karmique ». Exsudées de pixels atomiques issus d’un substrat de photons ondoyants, leur origine quantique est évidente. Bivalentes, ces images au creuset alchimique, intriquent les métamorphoses poétiques de la matière en état de recyclage, et « super-pausent » les états de transcendance métaphorique de la sublimation.
Tout dans cette recherche doit nous renvoyer à un questionnement implicite sur les « passages » de nos mues intérieures : élévations que l’on doit à notre rencontre essentielle avec le miroir enrichissant de « l’altérité » (la connaissance est toujours une co-naissance…). Ainsi : Quid des valeurs qui inspirent et animent notre chemin ? Quid des intentions de nos actions et de nos interactions avec l’environnement ? Quid de notre rencontre avec l’universel qui vibre en chacun ?
En tutoyant le Sacré, l’art et ses arborescences font partie de ces rituels de transmission à la noblesse méditative. La conscience de l’être culturel profond, voyageur du rêve au réel et du réel au rêve, doit en passer par les transgressions de son Moi, pour évoluer, et espérer établir les connexions immanentes avec l’autre, le monde, et le kairos de sa subconscience. »
Pascal di Péri
Parce qu’il nous fascine et nous interroge, l’art : miroir sentinelle des temps, et prophète ésotérique de l’âme, nous éveille…
Pascal di Péri
S’il n’est d’art que de philosophique, cette œuvre est comptable de ce rapport.
Cette œuvre est en effet conçue par et pour le Vrai, par et pour le Beau, par et pour le Juste. Son caractère souvent troublant, certes interroge nos paresses et nos inerties, mais elle clame aussi notre impérieuse volonté à ressourcer nos volontés.
Car, au-delà de leur facture poétique paradoxale, les substances pyrosphériques de l’œuvre de Pascal di PÉRI, puisent leur magnétisme dans une réalité aux sédiments complexes et aux énergies discordantes. Afin de réengager le dialogue sur des bases inspirantes, elles s’appuient sur le sens qui projette et justifie la détermination de l’exemplarité active, sur l’essence qui ancre et fait rayonner les rhizomes introspectifs de l’harmonie intuitive, et sur les sens, qui, captivés par la clairvoyance d’une apocalypse révélée, irradient de fièvres subjuguantes.
« Si l’art porte une vocation salvatrice, et s’il engendre des potentiels fédérateurs, c’est parce qu’il capte des énergies qui, mettant en tension les ressources des rêves et les vertiges du réel, portent l’être et sa culture, vers leur « au-delà ». »
Pascal di Péri
Par ses racines aux codes poétiques, et par les quêtes intérieures qu’il contient, l’art, compte parmi les plus importants vecteurs fondant les cultures et les civilisations. Ses arborescences foisonnantes, ses interstices subtiles, son éthique sensible, et sa clairvoyance intuitive, le rendent souvent révélateur des stigmates des temps ; jusqu’à le positionner parfois comme médiateur de causes aux principes citoyens. En cela, l’art joue pleinement son rôle d’intercesseur et promoteur bénéfique de valeurs communes.
« Ces recherches sont implicitement, inductrices de sensibilisation culturelle au recyclage. »
Pascal di Péri
Leur champ de création les positionne naturellement au cœur de cette problématique, comme vecteurs d’éthique et facteurs d’influences positifs. Quasiment « programmées » pour se révéler comme des marqueurs symboliques de volontés éco-culturelles, elles peuvent devenir contributrices et actrices du bien commun.
Il suffit d’envisager une trame stratégique opérationnelle, qui les feront interagir, pour se conjuguer et même fusionner, avec le plan aujourd’hui vital, des énergies qui construisent le monde de demain.
Un expert en art pose des mots sur ces œuvres…
À l’inverse de l’inertie des Nature Mortes, l’ensemble de ce corpus d’images, transcendé de fulgurances ésotériques et bouleversé de scories flamboyantes, déploie des vortex, tous inducteurs de dramaturgies séquentielles. Des vapeurs turbulentes s’en échappent, et, d’intenses chromies, saturées de mystères insolites, agitent le champ des ivresses sensibles.
Ionisées d’abstractions figuratives, des tangences temporelles se dissimulent dans cet impalpable chaos hybridé d’augures paréidoliques. Elles y diffusent les ondes d’un « outre-temps » devin. Ses volutes, oracles providentiels, y questionnent déjà l’avenir. Et des feux d’artifice dissonants, y fécondent des prémonitions embrasées de résilience. Dans les sinuosités de leur transmutation alchimique, des étincelles d’arcanes temporels, et frénétiques, s’initient à l’enjeu qui va magnifier l’infini de cette « outre-matière » absconse. W.B.
De l’objet à « l’obj-être » …
L’objet n’est qu’une excroissance de l’humain. Il porte superficiellement les stigmates de besoins aux quotidiens de plus en plus consuméristes. Il nous sert, nous enivre, nous sécurise, nous captive… mais aussi, devenu inutile, nous encombre, nous embarrasse, nous pollue…
Dans ces œuvres, en s’immolant sur l’autel des « citoyennetés graphiques », la matière, effectivement chargée d’une forme d’albédo clandestin, va racheter sa « faute », son « péché originel ». Car de ses cendres vitales, elle renaitra, tel le Phénix, innervée de fragrances psycho-chromatiques. Le monde éco-photo-pictural de Pascal di PÉRI en effet, libère tous les courants héroïques d’une éthique civique en éveil. Et ses flux d’arabesques aux facondes syncrétiques, irisant les griffons de futurs vertueux, iront enchanter les sources sociétales, de fertilités aux citoyennetés sereines.
L’expérience émotionnelle que ces œuvres font naitre est en effet marquante. Elles vibrent toutes d’une intensité implicite particulière ; et leur dramaturgie plastique semble fasciner « l’âme », pour mieux impressionner notre mystique mémorielle. Les danses de leurs exhalaisons fiévreuses, agissent comme un « soin homéopathique ». Plus que des images, ce sont des onguents aux fréquences spectrales stimulant l’esprit, tels de véritables philtres alchimiques. Leur vocation profonde est in fine, de pénétrer le tissu social, par porosité culturelle, afin de tendre vers une harmonie éco-culturelle. Celle-ci impliquera qu’un chemin spirituel guide le sens commun, d’une « noblesse d’accomplissement ». Une balise dans la « langue des oiseaux » peut déjà orienter notre discernement :
De la matière à « l’âme-à-tiers »…